The truth I have in my mind just needs to be spoken.
Some words here, some there, forever new, never broken.
“If only…”, “I wish that …”, “What if …”,”Someday..”
You and I both know that
We’re not a dot in the night sky flashing bright.
A lone shooting star, soon to be forgotten.
You and I both know what it takes to be the one.
To prove wrong all those who thought we we’d run.
The light you see does not come from above.
When you fight or flee, it’s not for hatred or love.
You and I both see that it’s much easier than it seems.
We’re all alike though we’re worlds apart.
A basket of glowing gems born out of an orphan’s heart.
As new as it was old, or so was I told.
The wind will soon follow.
Leave it all behind.
And life will follow.
Parler d'art est comme danser à propos d'architecture.
jeudi 3 mars 2011
vendredi 24 décembre 2010
samedi 4 décembre 2010
Greatness
That is the premiere of our orphanage band
Written by shy hands on a brainless platform,
Badly words on the "perfectest" lips yet to be seen,
Can't you say so please?
I ran errands and so did many of those we called,
Stupidium levearage, is making us it's own
I'm not trying to add blur to this folly, or am I ?
Our fringe is Just that dose of daily lobster
That's enough to turn my eternal, never-"bought in" soul into a sellout;
To turn my cammel riding ancestors into horsmen.
Radicalizing dreams.
Written by shy hands on a brainless platform,
Badly words on the "perfectest" lips yet to be seen,
Can't you say so please?
I ran errands and so did many of those we called,
Stupidium levearage, is making us it's own
I'm not trying to add blur to this folly, or am I ?
Our fringe is Just that dose of daily lobster
That's enough to turn my eternal, never-"bought in" soul into a sellout;
To turn my cammel riding ancestors into horsmen.
Radicalizing dreams.
lundi 29 novembre 2010
THE SYSTEM IS BACK !
J'en suis encore tout émoustillé (vous sentez pas comme une odeur d'émoustillure? ) Ils sont de retours ! Oui presque rien au monde n'aurait pu me faire plus plaisir que de savoir que mes 4 barbus préférés allaient rejouer ensemble , las semaine dernière a eu sont lot de rumeurs et de brouhaha entourant un possible retour du quatuor arménien, brouhaha (j'adore ce mot!) que j'ai relayé de mieux que j'ai pu, et apparemment, quand on a le cœur pur et qu'on souhaite quelque chose de toutes ses forces, eh bien cela finit par arriver ...euh je m'égare , quoi qu'il en soit l'annonce officielle est sur leur site http://www.systemofadown.com !
Quoi ? .... Comment ça ? "Bof connait pas le groupe ?"
Quoi ? .... Comment ça ? "Bof connait pas le groupe ?"
samedi 27 novembre 2010
C'est à moi que tu parles ? !
Beaucoup d'entre vous disent que j'ai raté le coche.
Quand on m'appelle au tel à chaque fois je raccroche.
Je ne fais même pas attention au fric à l'oseille.
Je siphonne chaque nuit les recettes de la veille.
Ah j'en sais rien moi !j'ai des trous dans les poches.
Alors partez devant, j'vous rejoindrais pas.
Vous tous frères, ennemis, cousins et amis proches.
Allez voir la bas si j'y suis, j'en ai ras la sacoche.
A coups de marteau et de fusils j'allumerais la torche.
Je foutrais le feu au monde et pisserai dessus pour l'éteindre.
Je vous filerai des visas pour passer mon port.
Je boufferais la Joconde et raserai les cranes des peintres.
Je casserai la gueule au destin et briserait le sort.
Peace!
Quand on m'appelle au tel à chaque fois je raccroche.
Je ne fais même pas attention au fric à l'oseille.
Je siphonne chaque nuit les recettes de la veille.
Ah j'en sais rien moi !j'ai des trous dans les poches.
Alors partez devant, j'vous rejoindrais pas.
Vous tous frères, ennemis, cousins et amis proches.
Allez voir la bas si j'y suis, j'en ai ras la sacoche.
A coups de marteau et de fusils j'allumerais la torche.
Je foutrais le feu au monde et pisserai dessus pour l'éteindre.
Je vous filerai des visas pour passer mon port.
Je boufferais la Joconde et raserai les cranes des peintres.
Je casserai la gueule au destin et briserait le sort.
Peace!
vendredi 26 novembre 2010
System Of A Down sont de retours
Ou du moins c'est ce que les voies confuses du net laissent transparaitre, la nouvelle a été d'abbord annoncée sur le blog d'un animateur radio français , avec un symple : "System Of a Down le 6 juin à Bercy", plusieurs journaliste on rapidement relayé le scoop, dont certains très crédibles comme mr. A mon tour je contribue au buzz,
System if you're reading this : man up and come back !!
System if you're reading this : man up and come back !!
lundi 22 novembre 2010
Time bomb
I stood up, leaving my warm, dream-ridden bed.
Propelled through the day, by laughs and exhaustion.
Driving steady, through the highway I said:
«We’re just a poupée, whose limbs are in motion »
A coincidence of sorts as my car-mate read.
A paper describing our southern commotion.
I answered « NO! » From the top of my head
Pushing down the gas, setting gears in motion
Soon reaching home, where all walls are red.
I lifted my muse high, out of devotion.
My nieces thaught me on their way to bed.
Seventy new scales of raw emotion.
Now I know I knew more, than what I ever thought I did.
Charles Darwin once, called it evolution
Dictating all your forefathers did
Leading the way for the greatest nations.
Beyond these lands of stone, heat and led.
Playing a song on the strings of constitution.
Drinking white wine as the black army fled.
We will put an end to the godly delusion.
Propelled through the day, by laughs and exhaustion.
Driving steady, through the highway I said:
«We’re just a poupée, whose limbs are in motion »
A coincidence of sorts as my car-mate read.
A paper describing our southern commotion.
I answered « NO! » From the top of my head
Pushing down the gas, setting gears in motion
Soon reaching home, where all walls are red.
I lifted my muse high, out of devotion.
My nieces thaught me on their way to bed.
Seventy new scales of raw emotion.
Now I know I knew more, than what I ever thought I did.
Charles Darwin once, called it evolution
Dictating all your forefathers did
Leading the way for the greatest nations.
Beyond these lands of stone, heat and led.
Playing a song on the strings of constitution.
Drinking white wine as the black army fled.
We will put an end to the godly delusion.
mardi 9 novembre 2010
Hypercrisie
La nuit était plus chaude que d'habitude.
Quoi de plus normal à deux pieds d'altitude.
Je n'avais pas l'intention de penser à moi, non !
Penser était une perle longtemps tombée de mon coffret, mais bon.
J'égrenais des engrenages sur le chemin du bucher en chantant
Pourvu que j'attrape un horloger sauvage sur ces terres sans temps.
Dans la colère je nage, on me saute au visage, avec une rage d'enfant.
Vingt ans que je divague sur mon divant,
entre une soixantaine de vagues et soixante-six vents.
Aujourd'hui, j'ai toujours aussi chaud qu'avant,
Plus tendu qu'Achille
Avec ou sans talons.
Ou vas-ton quand le rideau baisse , que le bas blesse
et que se termine la saison ?
Que vois-t-on quand l'oreille est aveugle
Et que l'œil n'est plus aussi rond ?
Ils disent que nous allons tous de l'avant,
que tout vas bien en ces temps.
Ils ont dit que la terre était de travers
que quiconque prenant la mer; toutes voiles devant,
ramènerait sans peine le soleil levant.
Tout est bien qui vit bien
Tout est bien petit vaurien
Tout est bien qui finit ...
... Bien ?
Quoi de plus normal à deux pieds d'altitude.
Je n'avais pas l'intention de penser à moi, non !
Penser était une perle longtemps tombée de mon coffret, mais bon.
J'égrenais des engrenages sur le chemin du bucher en chantant
Pourvu que j'attrape un horloger sauvage sur ces terres sans temps.
Dans la colère je nage, on me saute au visage, avec une rage d'enfant.
Vingt ans que je divague sur mon divant,
entre une soixantaine de vagues et soixante-six vents.
Aujourd'hui, j'ai toujours aussi chaud qu'avant,
Plus tendu qu'Achille
Avec ou sans talons.
Ou vas-ton quand le rideau baisse , que le bas blesse
et que se termine la saison ?
Que vois-t-on quand l'oreille est aveugle
Et que l'œil n'est plus aussi rond ?
Ils disent que nous allons tous de l'avant,
que tout vas bien en ces temps.
Ils ont dit que la terre était de travers
que quiconque prenant la mer; toutes voiles devant,
ramènerait sans peine le soleil levant.
Tout est bien qui vit bien
Tout est bien petit vaurien
Tout est bien qui finit ...
... Bien ?
samedi 30 octobre 2010
Laku Nox Zagreb!
2417.49 Kilometers of sheer , untamed pleasure !
From our blessed lands of Maghreb, all the way to Zagreb, our wandering sultan of con-art or so called consultant, traveled through two continents and a half, in less than twelve hours.
After such a feat, one can’t help but marvel at the speed at which humanity has progressed since the time of the two Marrakchi pilgrims that couldn’t make it to the remote city of Mecca, the prophet was buried in.
As the AF 1697 aircraft was slowly approaching Charles de Gaulle airport , I could hardly keep my eyes …... open ! I must admit that didn’t get much sleep the days before, that's why I slept to my heart’s contempt throughout the whole flight. Nevertheless, I was there, arriving, seeing, and about to conquer.
The landing area was stretching before me as a never ending forest of concrete, with vehicles and structures of every imaginable appearing and vanishing, as the plane slowly proceeded to the terminals. My first impression was that the premises were as neat as In my recollection of Paris-Orly, or perhaps even more, never have I felt as much as a “citoyen du monde” as I did at the very moment I entered the airport, the building was an intriguing Kaleidoscope of ethnicities, with Indians asking Chinese clerks for American goods supplied by French vendors and sold under Swiss brands. To make a long story short I breezed through the six seven eight hours that separated my two flights, and frankly wouldn’t have minded waiting tenfold.
The Zagreb plane eventually came, and I embarked as planned, with my copy of “everything is under control” by Hugh Lorie ( the actor playing Dr House!) I had stumbled upon two hours earlier at the airport. After an uneventful trip, the flight attendant announced in a heavy eastern European accent that we were about to land in Zagreb,
-“Yet another boring landing … :\ ” was I thinking,
But oh how far from the truth was I !
2100 hours, Croatian time.
From my point of view , nighttime Zagreb looked like the cracks of an ancient but still active volcano, in the sense that the city lights were disposed in a asymmetrical shape, stemming from a central point, and spreading throughout space like the tentacles of a giant radiating octopus emerging from an ocean of darkness. I kept wondering that image all the way to the customs, where I was told that there was a problem with my visa, It appeared that his Excellency, Pietrovic Jurcic , Croatian consul in morocco had granted me acces to his country strating from October ( or Listopad as they call it here ) the 25th , and we were technically still three hours away from that deadline. I must admit that I was expecting this situation, which is why I accepted to wait patiently, just like Viktor Novorsky before me in De Términali Zona,
-“Could you please wait until 00:01 here ?” asked the blond haired female police officer,
-“Aye Wéte ! here !” I answered, in a rather successful impersonation of the Krakozian fictional character.
I used the time to review some of my files and read some more of my newly acquired Hugh Lorie novel.
00:10 Croatian time
Asmir Nobrakovic , a seasoned cab driver sent by my customer , kindly drove me to the Dubrovnik hotel where a hot local meal of local shrimp risotto and a warm bed were waiting for me.
From our blessed lands of Maghreb, all the way to Zagreb, our wandering sultan of con-art or so called consultant, traveled through two continents and a half, in less than twelve hours.
After such a feat, one can’t help but marvel at the speed at which humanity has progressed since the time of the two Marrakchi pilgrims that couldn’t make it to the remote city of Mecca, the prophet was buried in.
As the AF 1697 aircraft was slowly approaching Charles de Gaulle airport , I could hardly keep my eyes …... open ! I must admit that didn’t get much sleep the days before, that's why I slept to my heart’s contempt throughout the whole flight. Nevertheless, I was there, arriving, seeing, and about to conquer.
The landing area was stretching before me as a never ending forest of concrete, with vehicles and structures of every imaginable appearing and vanishing, as the plane slowly proceeded to the terminals. My first impression was that the premises were as neat as In my recollection of Paris-Orly, or perhaps even more, never have I felt as much as a “citoyen du monde” as I did at the very moment I entered the airport, the building was an intriguing Kaleidoscope of ethnicities, with Indians asking Chinese clerks for American goods supplied by French vendors and sold under Swiss brands. To make a long story short I breezed through the six seven eight hours that separated my two flights, and frankly wouldn’t have minded waiting tenfold.
The Zagreb plane eventually came, and I embarked as planned, with my copy of “everything is under control” by Hugh Lorie ( the actor playing Dr House!) I had stumbled upon two hours earlier at the airport. After an uneventful trip, the flight attendant announced in a heavy eastern European accent that we were about to land in Zagreb,
-“Yet another boring landing … :\ ” was I thinking,
But oh how far from the truth was I !
2100 hours, Croatian time.
From my point of view , nighttime Zagreb looked like the cracks of an ancient but still active volcano, in the sense that the city lights were disposed in a asymmetrical shape, stemming from a central point, and spreading throughout space like the tentacles of a giant radiating octopus emerging from an ocean of darkness. I kept wondering that image all the way to the customs, where I was told that there was a problem with my visa, It appeared that his Excellency, Pietrovic Jurcic , Croatian consul in morocco had granted me acces to his country strating from October ( or Listopad as they call it here ) the 25th , and we were technically still three hours away from that deadline. I must admit that I was expecting this situation, which is why I accepted to wait patiently, just like Viktor Novorsky before me in De Términali Zona,
-“Could you please wait until 00:01 here ?” asked the blond haired female police officer,
-“Aye Wéte ! here !” I answered, in a rather successful impersonation of the Krakozian fictional character.
I used the time to review some of my files and read some more of my newly acquired Hugh Lorie novel.
00:10 Croatian time
Asmir Nobrakovic , a seasoned cab driver sent by my customer , kindly drove me to the Dubrovnik hotel where a hot local meal of local shrimp risotto and a warm bed were waiting for me.
mardi 19 octobre 2010
Supplication
L'aube que je dessine au stylo-BIC est pour moi
Un autre jour entouré de feutre rouge.
Sur un calendrier grec
Un ton positif et indispensable prenant la vie
D'un coté imprévu
Des centaines d'usuriers me diraient que je suis fou
Alors que la la cinquième ville du désire
Agadir... tu cries !
Vendez moi vos rires
Par milliards.
Chargez ma forteresse
Qui de loin semble haute
Car j'en prends bien soin
De chaque image une écharde
De toutes les cellules
Qui chaque jour en nous, brulent.
Les cadavres qui fièrement un jour.
M'ont pensé.
En cette nuit encore
Nonchalamment, déambulent.
Un autre jour entouré de feutre rouge.
Sur un calendrier grec
Un ton positif et indispensable prenant la vie
D'un coté imprévu
Des centaines d'usuriers me diraient que je suis fou
Alors que la la cinquième ville du désire
Agadir... tu cries !
Vendez moi vos rires
Par milliards.
Chargez ma forteresse
Qui de loin semble haute
Car j'en prends bien soin
De chaque image une écharde
De toutes les cellules
Qui chaque jour en nous, brulent.
Les cadavres qui fièrement un jour.
M'ont pensé.
En cette nuit encore
Nonchalamment, déambulent.
samedi 16 octobre 2010
Enfant bleu sur la coline
Monsieur McKenna !Monsieur McKenna ?
Que veux tu Tommy ?
Jim a encore voulu jouer avec moi aujourd'hui !
Ah Bon ? Me parles-tu sérieusement ? ! tommy ? !
Oui ! Mr McKenna ! venez vite ils sont encore là !
Petits démons ! créatures impures
Oui Mr McKenna !
Meurs excrément de Satan !
Et toi aussi spectre malfaisant !
Bravo Mr mc Kenna ! Bravo !
On voulait juste faire une partie de ..
Parts petit succube !
J'avais juste voulu ...
Creuser notre tombe hein ? c'est ça ? ! Parle hein ? !
Je vous jure que je ne ferr..
Ferrrrrrrrrrrrme ta bouche petite loutre !
Oui ! Mr Mc Kenna ils ont bien appris leur leçon.
Oui mon petit !oui !
viens rentrons !
Que veux tu Tommy ?
Jim a encore voulu jouer avec moi aujourd'hui !
Ah Bon ? Me parles-tu sérieusement ? ! tommy ? !
Oui ! Mr McKenna ! venez vite ils sont encore là !
Petits démons ! créatures impures
Oui Mr McKenna !
Meurs excrément de Satan !
Et toi aussi spectre malfaisant !
Bravo Mr mc Kenna ! Bravo !
On voulait juste faire une partie de ..
Parts petit succube !
J'avais juste voulu ...
Creuser notre tombe hein ? c'est ça ? ! Parle hein ? !
Je vous jure que je ne ferr..
Ferrrrrrrrrrrrme ta bouche petite loutre !
Oui ! Mr Mc Kenna ils ont bien appris leur leçon.
Oui mon petit !oui !
viens rentrons !
jeudi 7 octobre 2010
L'homme est fou de vouloir
Changer son reflet , sa mémoire
Redevenons beaux ne serait-ce que pour un millénaire.
Faisons comme l'oncle Ishram, depuis longtemps parti
Nous laissant entre nous à jouer aux bandits.
Je rêve de pays révolutionnaires.
De grands nains renaissants.
de nuages de poussière.
Tapis entre les buissons.
Écarte toi, jeunot et laisse moi tes yeux.
Ta bouche tes mains ta rage.
Chantant à tue tête l'hymne des cieux.
Entre vivre et mourir je préfère encore les deux.
Arrière grand père ! respire.
A ma droite , qui est ta gauche.
Variantes colorés de hauts et de bas.
Rira bien qui vivra, verra, et jamais n'y ira.
Changer son reflet , sa mémoire
Redevenons beaux ne serait-ce que pour un millénaire.
Faisons comme l'oncle Ishram, depuis longtemps parti
Nous laissant entre nous à jouer aux bandits.
Je rêve de pays révolutionnaires.
De grands nains renaissants.
de nuages de poussière.
Tapis entre les buissons.
Écarte toi, jeunot et laisse moi tes yeux.
Ta bouche tes mains ta rage.
Chantant à tue tête l'hymne des cieux.
Entre vivre et mourir je préfère encore les deux.
Arrière grand père ! respire.
A ma droite , qui est ta gauche.
Variantes colorés de hauts et de bas.
Rira bien qui vivra, verra, et jamais n'y ira.
vendredi 26 février 2010
update en retard
Ben oué d'une Heure 55,ET ALORS ?????
* les raisons du retard sont épiques! mais je n'ai pas assez d'énergie maintenant pour en dire plus, si ça intéresse quelqu'un mentionnez le dans un commentaire....
* les raisons du retard sont épiques! mais je n'ai pas assez d'énergie maintenant pour en dire plus, si ça intéresse quelqu'un mentionnez le dans un commentaire....
mardi 23 février 2010
les 3 P.C pour Ouss et le Roi James
La dernière demeure face à moi se tient
Alors que je peine à remplir mon sein,
Ah que d'effort pour ce maudit festin !
En me voyant venir, les trois bêtes se retirent
Et du haut de leur tour me narguent avec dédain.
Mon souffle puissant n'est plus qu'un soupir.
Entre brise d'automne et zéphyr orphelin.
A dieu foret noire et petits chaperons,
Vilains petits canards, brebis et Moutons,
Seul je tombe, en ces tristes région.
Ou jadis mes frères se comptaient en légions.
Je ne peux que maudire votre sale descendance.
Et prier Fenrir d'abattre sa sentence.
Que je puisse témoigner de votre déroute.
Quand vos chaumières deviendront des pots à choucroute.
Alors que je peine à remplir mon sein,
Ah que d'effort pour ce maudit festin !
En me voyant venir, les trois bêtes se retirent
Et du haut de leur tour me narguent avec dédain.
Mon souffle puissant n'est plus qu'un soupir.
Entre brise d'automne et zéphyr orphelin.
A dieu foret noire et petits chaperons,
Vilains petits canards, brebis et Moutons,
Seul je tombe, en ces tristes région.
Ou jadis mes frères se comptaient en légions.
Je ne peux que maudire votre sale descendance.
Et prier Fenrir d'abattre sa sentence.
Que je puisse témoigner de votre déroute.
Quand vos chaumières deviendront des pots à choucroute.
jeudi 18 février 2010
If it's getting cold, re-heat it !
Holly Lies.
Ye man of short sight, sharpen thy wits !
For no blade can cut better than a well trained tongue.
Ye man of permanent despair, seek not hope, seek closure!
For hope only renews your torment.
Ye man of lost dreams, know that none is lost, but all is hidden, look inwardly!
For your fancies are within.
Ye man, be ye living or dead?
Dost thou fathom the very nature of yer nature?
Pronounce my name, one that none spake since the genesis,
And that none shalt speak evermore.
Bath in my light, set yer narrowed eyes on my features, and smile.
Reach out as far as thy arms stretch, and even further beyond,
Until Thou canst feel my warmth.
Weep, Ô feeble Man!
Let yer whole being be crushed under the might of our legend.
Weep, Ô empty vessel!
Now to be filled with the true meaning of making.
Thou hast created creation and gave life to life,
We killed death and sat upon it's throne.
Untrue to the end thou were, and so ye shall remain.
Untrue to the ultimate chasm.
A lie on the face of destiny, a mere spasm.
Ye man of short sight, sharpen thy wits !
For no blade can cut better than a well trained tongue.
Ye man of permanent despair, seek not hope, seek closure!
For hope only renews your torment.
Ye man of lost dreams, know that none is lost, but all is hidden, look inwardly!
For your fancies are within.
Ye man, be ye living or dead?
Dost thou fathom the very nature of yer nature?
Pronounce my name, one that none spake since the genesis,
And that none shalt speak evermore.
Bath in my light, set yer narrowed eyes on my features, and smile.
Reach out as far as thy arms stretch, and even further beyond,
Until Thou canst feel my warmth.
Weep, Ô feeble Man!
Let yer whole being be crushed under the might of our legend.
Weep, Ô empty vessel!
Now to be filled with the true meaning of making.
Thou hast created creation and gave life to life,
We killed death and sat upon it's throne.
Untrue to the end thou were, and so ye shall remain.
Untrue to the ultimate chasm.
A lie on the face of destiny, a mere spasm.
lundi 15 février 2010
Révolution.
Ma ballerine commence à sourire,
découvrant son unique dent jaunie.
Au sommet de son crâne un nid oublié,
Une cage douillette de fils barbelés.
Des oiseaux sans plumes, aux ailes écarlates.
Y couvent sans répit un monde qui éclate.
De l'œuf en lambeaux descend une blatte.
Immonde prophétesse, plus belle qu'un sanglot.
Longtemps elle coula sur cette joue ridée,
Donnant le ton à la danseuse inerte.
Qui tourne encore à la lumière du Jour.
A l'orée des tombes des derviches fusillés.
découvrant son unique dent jaunie.
Au sommet de son crâne un nid oublié,
Une cage douillette de fils barbelés.
Des oiseaux sans plumes, aux ailes écarlates.
Y couvent sans répit un monde qui éclate.
De l'œuf en lambeaux descend une blatte.
Immonde prophétesse, plus belle qu'un sanglot.
Longtemps elle coula sur cette joue ridée,
Donnant le ton à la danseuse inerte.
Qui tourne encore à la lumière du Jour.
A l'orée des tombes des derviches fusillés.
mercredi 10 février 2010
Machine
J'ouvre à peine l'esprit,
En ce chaud matin d'automne.
Réveillé par quatre mesures.
Qui ont la veille , scié mon entrain.
La terre entre ces rails,
Cache ses entrailles
Et son odeur endormie.
Je tourne juste à temps
Sans voir ce qui m'attends.
je te cède mon siège, ennui.
Le vent caresse les tombes des ondes importunes.
Le sable sans dunes ralentissant ta course.
Je remplis ta chaudière d’oiseaux du paradis
Qui brulent en chantant, un air de félicité.
Et ensemble vous partez au loin.
Plus proches que jamais.
A l’Ouest de la lucidité.
En ce chaud matin d'automne.
Réveillé par quatre mesures.
Qui ont la veille , scié mon entrain.
La terre entre ces rails,
Cache ses entrailles
Et son odeur endormie.
Je tourne juste à temps
Sans voir ce qui m'attends.
je te cède mon siège, ennui.
Le vent caresse les tombes des ondes importunes.
Le sable sans dunes ralentissant ta course.
Je remplis ta chaudière d’oiseaux du paradis
Qui brulent en chantant, un air de félicité.
Et ensemble vous partez au loin.
Plus proches que jamais.
A l’Ouest de la lucidité.
On demande le Dr. Schweitzer à l'accueil.
Attendre
Je suis aujourd’hui l’invité d’un prince esclave
Nourri à la cuillère par un dieu des plus suaves.
Il me dit, pendant le déjeuner, que la lumière chez eux raisonne.
C’est un soleil orange aux contours noirs.
Qui ne réchauffe pas, éblouie rarement, et chante quand on le lui demande,
Le prince est sans pitié, je suis las de ma rousseur.
Je laide à débarrasser la table puis à vendre sa mère.
Il versa deux larmes à coté de mon verre, et me dit de rester.
Je ne veux pas vivre ici luis dis-je,
Je suis aujourd’hui l’invité d’un prince esclave
Nourri à la cuillère par un dieu des plus suaves.
Il me dit, pendant le déjeuner, que la lumière chez eux raisonne.
C’est un soleil orange aux contours noirs.
Qui ne réchauffe pas, éblouie rarement, et chante quand on le lui demande,
Le prince est sans pitié, je suis las de ma rousseur.
Je laide à débarrasser la table puis à vendre sa mère.
Il versa deux larmes à coté de mon verre, et me dit de rester.
Je ne veux pas vivre ici luis dis-je,
Tu n’y vivras pas, dit-il, car je suis trop parfait.
dimanche 7 février 2010
Euh ... il est quel heure déjà ?
Faim
Parfois une orgie peut vous faire comprendre,
Des acteurs en robes rouge coupent le noir autour de moi.
L’un est beau l’autre ne me connais pas.
J’aurais bien donné un automne, en cette moitié de mois,
Si j’y trouvais un quelconque plaisir.
Ils trouvent tous que ça sonne mieux ainsi,
Tous sont d’accord pour une fois.
Que c’est chaud, une politesse répercutée.
Voilà pourquoi je n’écraserai pas aujourd’hui,
Je vais simplement cacher ma chaire et ouvrir la porte au désir.
Prends.
Des acteurs en robes rouge coupent le noir autour de moi.
L’un est beau l’autre ne me connais pas.
J’aurais bien donné un automne, en cette moitié de mois,
Si j’y trouvais un quelconque plaisir.
Ils trouvent tous que ça sonne mieux ainsi,
Tous sont d’accord pour une fois.
Que c’est chaud, une politesse répercutée.
Voilà pourquoi je n’écraserai pas aujourd’hui,
Je vais simplement cacher ma chaire et ouvrir la porte au désir.
Prends.
Enfin !
Après une demi douzaines de faux départs, de "cette fois c'est la bonne!!", et de procrastination intempestive, je me suis enfin résolu à m'y mettre ...
Je suis du genre de personnes qui aime bien faire profiter les autres de sa stupidité en espérant qu'elle ne tombe pas entre les bonne mains, en un premier temps je publierai des poèmes, ce qui fait de vous chers lecteurs égarés, mes tout premiers cobayes.
Cette fois, je suis sur que c'est la bonne !
Je suis du genre de personnes qui aime bien faire profiter les autres de sa stupidité en espérant qu'elle ne tombe pas entre les bonne mains, en un premier temps je publierai des poèmes, ce qui fait de vous chers lecteurs égarés, mes tout premiers cobayes.
Cette fois, je suis sur que c'est la bonne !
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